La Désintoxin-Homéopathie, souvent abrégée en DSTH, est une approche thérapeutique homéopathique innovante et personnalisée, développée dans les années 1980 par le Dr. Jean Marchandise, médecin français installé à Saint-Flour (Cantal).

La DSTH repose sur l’idée que de nombreuses pathologies actuelles proviennent d’« intoxinations passées » – des traces résiduelles d’événements toxiques (infections, vaccinations, intoxications alimentaires, chocs émotionnels, etc.) qui persistent dans l’organisme comme des « empreintes » perturbatrices. Contrairement à l’homéopathie classique, qui traite les symptômes actuels, la DSTH vise une « désintoxination » profonde : un nettoyage intérieur pour éliminer ces résidus toxiques accumulés au fil du temps, permettant ainsi à l’organisme de retrouver son équilibre naturel.

• Le rôle du corps comme guide : La méthode met l’accent sur la capacité du corps à « choisir » les remèdes homéopathiques qui lui conviennent. Le praticien utilise une technique de test (inspirée de la kinésiologie ou de l’écoute du corps) pour identifier les dilutions homéopathiques adaptées aux besoins spécifiques du patient.
• L’homéopathie par voie cutanée indirecte : Un aspect révolutionnaire de la DSTH est l’administration des remèdes non par voie orale, mais par contact indirect avec la peau. Le praticien prépare un petit sachet contenant une matière absorbante ou un liquide imbibé de dilutions homéopathiques (souvent mélangées), juste à porter sur soi. Cela permet une absorption progressive et ciblée, en « écoutant » les signaux du corps pour ajuster le traitement. Cette approche est décrite comme une « homéopathie à fleur de peau », évitant les effets secondaires potentiels des prises orales.